Archives mensuelles : octobre 2015

Moi Corinne, la mascotte

Un livre, pour faire bouger ?

Ça m’a pris un jour, pour faire bouger les gens et qu’ils acceptent mieux la différence. Je pense qu’ils ne connaissent pas le handicap, on est souvent regardé de la tête au pied. Les regards sont parfois dérangeants, je ressens de la pitié dans la façon de me dévisager. C’est avec ce constat que j’ai voulu écrire un « bouquin » qui permettra au lecteur de mieux comprendre le handicap d’une manière plus personnelle.

Ce livre est une véritable aventure, qui a eu de multiples rebondissements. J’ai d’abord écrit un brouillon, seule, entièrement à la main. Pendant un an et demi, chaque jour, j’ai posé sur le papier tous mes ressentis et mes questions sur la vie, la mort, l’amour…, des anecdotes de mon parcours et retracé mon histoire personnel. J’en ai parlé à la psychologue du foyer qui m’a orientée vers Danielle Thomas, facilitatrice en CPA (communication Profonde Accompagnée). Chaque lundi après midi, pendant presque deux ans  (2012/2013) , nous avons travaillé à la mise en forme de mon futur livre. En prenant mes premiers écrits comme trame, nous avons identifié et regroupé les phrases par thèmes pour arriver à un résultat cohérent, comme les pièces d’un puzzle qu’on assemble pour former une image. Ce travail a été très constructif pour moi et en même temps très difficile émotionnellement. Chaque thème abordé faisait remonter en moi les souvenirs, l’enfance, tous les sentiments enfouis par la vie qui passe. Pour trouver le titre, ça n’a pIMG_0238as été facile. J’ai soumis plusieurs idées à Danielle et  finalement : « Moi Corinne, la mascotte » est arrivé comme une évidence. Pourquoi ce titre ? pour moi être avec les autres, leur rendre service, les faire rire, c’est vivre et profiter de la vie, et surtout de ne pas rester seul entre quatre murs. C’est ma façon de m’identifier à une « mascotte », pour qu’on se souvienne de moi comme quelqu’un de généreux.

Le manuscrit enfin achevé avec Danielle nous nous sommes mises à la recherche d’un éditeur. Internet nous a été d’un grand secours, Edilivre maison d’édition en ligne*, a accepté mon projet. Un mois plus tard, au beau milieu du printemps 2013, j’ai eu le premier exemplaire de mon livre entre les mains. Mon cœur s’est mis à battre encore plus fort, mon projet prenait forme, maintenant je peux le faire partager avec les autres, ce qui a toujours été le moteur de cette grande aventure.

J’ai présenté mon livre le 1er mars 2014, lors de la scène ouverte à Dirinon avec la présence de Danielle Thomas, et le 7 juillet à Rosporden (Commission Culturelle Mutualité 29/56). Les retours sont positifs, et les critiques encourageantes. Le bouche à oreille a bien fonctionné et, de quelques exemplaires vendus, j’ai dû rapidement commander un nombre plus important. A l’heure actuelle je n’ai plus de livre en stock et je compte en recommander pour satisfaire la demande.
Ce n’est pas facile de boucler un projet aussi ambitieux, c’est encore moins facile d’écrire un bouquin, mais parfois il est possible de surmonter toutes ces difficultés pour arriver à ses fins. De la volonté, de la persévérance, et aussi de belles rencontres m’ont permis de réaliser ce rêve, et surtout de faire passer ce message aux lecteurs : nous sommes avant tout des personnes avant d’être handicapés.

Corinne .B
juin 2015

La Quatrième de couverture de « Moi Corinne, la mascotte » :
Peut-être que j’aurais eu une belle vie si je n’avais pas été handicapée, si j’avais été valide. J’aurais fait toutes ces choses que les gens peuvent faire. Cependant je pense avoir une belle vie malgré mes problèmes, et j’ai l’intention de rester vivante le plus longtemps possible, à côté de gens avec qui je me sens entourée, auprès de ma famille, des amis et des personnes qui me soignent tous les jours. Malgré mon handicap à mobilité réduite, je suis une personne à part entière. J’ai décidé de raconter mon vécu, pour changer le regard des autres, pour leur montrer qu’on est capable de faire beaucoup de choses malgré notre handicap. J’espère que cette lecture vous permettra de vous interroger sur ce monde du handicap que vous côtoyez, sans le voir réellement.

Vous pourrez trouver le livre en prenant contact directement avec Corinne au Foyer Soleil de Lorient ou sur le site de Edilivre : http://www.edilivre.com/

*Edilivre est une start-up qui a eu l’intuition en 2007 de mettre les nouvelles technologies au service de l’édition et permettre à tous les auteurs,  plus au moins expérimentés, d’éditer leurs manuscrits ainsi que de les diffuser. Edilivre édite plus de 10 000 auteurs à travers le monde (France, Belgique, Suisse, Canada, Maroc, Tunisie, Congo…) et présente un catalogue de plus de 17 000 livres, aux formats papier et numérique.

La Famille Bélier

La famille bélierComédie française, de 1h46min réalisée par Eric Lartigau, sortie en décembre 2014.  Louane Emera a été doublement récompensée par le César du Meilleur jeune espoir féminin et le prix de la Révélation féminine de l’année par l’Académie des Lumières de la presse étrangère*, Karin Viard quant à elle obtient le prix de la Meilleure actrice à cette cérémonie des Lumières.

L’histoire : Dans la famille Bélier, tout le monde est sourd sauf Paula, 16 ans. Elle est une interprète indispensable à ses parents au quotidien, notamment pour l’exploitation de la ferme familiale. Un jour, poussée par son professeur de musique qui lui a découvert un don pour le chant, elle décide de préparer le concours de Radio France. Un choix de vie qui signifierait pour elle l’éloignement de sa famille et un passage inévitable à l’âge adulte.

Le réalisateur : Eric Lartigau débute dans la mise en scène par la voie de l’assistanat, auprès d’Edouard Molinaro, Diane Kurys ou encore Emir Kusturica. Par la suite, il s’oriente vers le petit écran, réalisant de nombreuses séquences des Guignols de l’info. En 2001, Dominique Farrugia le recommande auprès des deux comiques Kad et Olivier, qui cherchent un réalisateur pour une déclinaison cinématographique de leurs sketchs à succès Bullit et Riper. En 2002, Eric Lartigau réalise ainsi son premier long métrage, le pastiche de film policier Mais, qui a tué Pamela Rose ? et retrouve le tandem comique pour son film suivant, Un ticket pour l’espace, sorti en 2006. La même année, c’est avec une autre grande figure de Canal +, Alain Chabat  que le cinéaste réalise Prête-moi ta main. Eric Lartigau change de genre quatre ans plus tard avec L’Homme qui voulait vivre sa vie, un drame centré sur Romain Duris. En 2012, il rejoint la bande de Jean Dujardin et Gilles Lellouche pour Les Infidèles, réalisant l’un des sketchs de cette fable sur l’infidélité masculine. Le metteur en scène revient au registre de la comédie en 2014, avec La Famille Bélier.

Une recrue qui a de la voix
De son vrai nom Anne Peichert, Louane Emera grandit à Hénin Beaumont, en région Nord-Pas-de-Calais. Révélée au public en 2013 par l’émission The Voice,  épaulée par Louis Bertignac, Louane arrive jusqu’en demi-finale et démontre qu’à seize ans, son timbre de voix est déjà exceptionnel. Son premier rôle d’actrice lui permet de concilier son intérêt pour la musique et le cinéma et de jouer aux côtés d’acteurs chevronnés tels que François Damiens, Karin Viard et Eric Elmosnino . Sa prestation est récompensée par le César du Meilleur espoir. En parallèle, elle réalise son premier album, Chambre 12, qui sort le 2 mars 2015. Il se classe n°1 des ventes d’albums en France pendant douze semaines.

Nicolas K. et le comité de rédac’
octobre 2015

Ciné-Goûter

 
Dimanche 11 octobre 2015


à 15h en cafèt’

Bande annonce :

Championnat Inter-régional Boccia

La dernière compétition qualificative pour le championnat de France éligible s’est déroulé le 22 janvier 2015 à Chateaubriant. Quatre joueurs avaient été sélectionnés, trois en catégorie BC3 (joueur avec rampe), un joueur en catégorie BC2 (sans rampe et sans assistant). Bien que sur l’ensemble la saison sportive les résultats de certains joueurs aient été encourageants, il n’y aura hélas pas de participation de nos compétiteurs au prochain championnat de France fin mars à Pont à Mousson.
Tous les espoirs sont permis pour la saison prochaine.

Sébastien Sanchez  3ème ex æquoSèb S
« Cette journée, a débuté dans des conditions idéales, je ne jouais pas en  premier, j’avais le temps de me préparer et de m’entraîner. Les phases de pool se sont bien déroulées, j’ai fini 1er de ma pool,  du coup en demi-finale, je joue contre Fabrice Coutard, le deuxième de l’autre pool. Il pratique la boccia, depuis pas mal d’années, il s’est qualifié souvent pour le championnat de France. La partie a bien démarré, mais j’ai loupé une phase de jeu, et c’est ça qui m’a fait craqué sur ce match, je n’ai pas eu assez de mental pour prendre le dessus. Pour résumer, cette journée était très bien avec un peu de déception quand même, ne pas avoir fait aussi bien que l’année dernière pour la qualification au championnat de France . C’est un peu dommage on reviendra plus fort l’année prochaine. »

Ronan Le Balch’ 3ème ex æquo
Ronan« La journée s’est très bien déroulée, j’ai terminé 3ème ex æquo,  avec mon collègue du Foyer Soleil, Sébastien Sanchez. C’est la première fois que je participe à une compétition à un tel niveau, surtout qu’il n’y a pas très longtemps que j’ai repris la Boccia. Ce n’est pas facile à ce palier de la compétition, il faut être bien concentré et les adversaires sont beaucoup plus forts. J’aimerais continuer sur cette lancée et revenir l’année prochaine pour, peut-être, être qualifié à la phase finale de la coupe de France. »

Sèb LBSébastien Le Bourlout
Cette année j’ai beaucoup progressé mais je peux mieux faire, c’est dommage qu’il n’y ait pas plus d’entraînements. Mon objectif est de me requalifier pour les inter-régions et essayer d’aller plus loin, ce sera tout bonus.
Cette année je ne pouvais rien faire. Dès qu’on est arrivé, je n’ai pas pu tester correctement le sol, pour voir comment roulent les boules (2 minutes d’échauffement) , j’ai joué mes matchs à la suite… c’était quand même bien.

Le comité de rédac’ et l’Accueil de Jour

 

 

Une gestion autonome des compétitions de boccia
En ce début de saison sportive, une évolution dans la gestion des compétitions de boccia voit le jour.
En effet, depuis 10 ans maintenant, la boccia bénéficiait d’un accompagnement dans son développement et la mise en place des compétitions par les comités handisports régionaux et départementaux.  Mais aujourd’hui, une éventuelle suppression des subventions d’ici 2017 au sein des comités, amène une réorganisation pour la discipline afin que sa pratique reste pérenne.
Il faut donc que les structures proposant la pratique de la boccia aient une gestion autonome des compétitions au niveau départemental et inter-départemental, afin de pouvoir sélectionner les joueurs pour les étapes suivantes (régionale, inter-régionale et championnat de France. La discipline compte aujourd’hui en Bretagne un effectif d’environ 150 participants.
Sur le Morbihan, Le Foyer soleil et l’IME Ar Men, étant investis depuis de nombreuses années dans la pratique de cette discipline, ont naturellement mutualisé leurs efforts pour mettre en place la compétition départementale (le 30 septembre 2015) et l’inter-départementale (le 14 octobre 2015). Nous sommes bien sûr, pour cette première expérience, soutenus et guidés par le comité départemental.

L’Accueil de Jour du Foyer Soleil

Sur le toit de l’Europe !

01 Equipe de franceL’équipe de France de foot fauteuil, Championne d’Europe 2014
de gauche à droite : Mohamed GHELAMI (Auch), Pierre-Vincent GAMIN (Douai Foot-Fauteuil), Tristan DELMAS (Lorient Foot-Fauteuil), Jérôme DURAND « Pika » (Minnesta), Erwan CONQ (EF Brestois), Sylvain MALARD (Lorient Foot-Fauteuil), Julien RENIERS (Villeneuve d’Ascq), Brian WEISS (Grafteaux Culture Sport)

En juillet dernier, à Limerick en Irlande, après un parcours incroyable, l’équipe de France de foot fauteuil accroche sa toute première étoile sur leur maillot, en remportant la première Coupe d’Europe des nations.
Le Canard, revient sur cet événement avec Bernard Berthouloux, sélectionneur de l’équipe de France, qui nous livre ses impressions.

02 Bernard BerthoulouxBernard BERTHOULOUX, entraîneur et sélectionneur de l’équipe de France de foot fauteuil.  Source : European Powerchair Football Association

les Bleus, champions d’Europe 2014,  est elle ton équipe de rêve ?
On a réussi à battre toutes les équipes européennes qu’on avait en face de nous, notamment l’Angleterre qui est quand même vice Championne du Monde, la seule équipe au monde à l’heure actuelle à avoir battu les Américains, et on leur met  6/2 en pool et 5/0 en finale, ce n’est pas rien ! Je pense que c’est avant tout une équipe qui a été réaliste, capable de marquer beaucoup de buts surtout et d’être très offensive, ce qui avait été toujours le problème des équipes de France jusqu’à présent. On a eu de la chance de lancer (avec Ricardo) des joueurs qu’on avait vu en équipe de France Espoir, il y a quelques années. On leur a donné leur chance au plus haut niveau et ils se sont vraiment éclatés. J’ai l’impression d’avoir atteint un très bon niveau, mais il ne faut pas que ce soit un feu de paille, il nous reste à le confirmer. Ce n’est pas pour me vanter, mais j’avais les joueurs qui fallait pour cela, c’est un plaisir de les coacher. Je suis vraiment très, très fier des joueurs, je leur dis un grand merci parce qu’ils ont été énormes…03 Ricardo RisoRicardo RISO, entraîneur adjoint et  Erwan CONQ, capitaine de l’équipe de France.
Source : European Powerchair Football Association

les victoires des Bleus en Irlande sont-elles dues plus à la faiblesse des autres équipes qu’à la supériorité écrasante de la France ?
Je suis très circonspect la dessus, on a très, très bien joué, il n’y a rien à dire là-dessus. C’est vrai qu’en face, il n’y avait pas de grosses équipes, on a quand même joué le vice Champion du Monde en pool et en finale. On savait que la finale contre l’équipe d’Angleterre allait être un autre match, avec des intimidations et un jeu très physique sur le terrain, on leur a mis une telle leçon en pool… Ce qui a été phénoménal, c’est qu’en finale, on a été capable de leur mettre la même chose…
Je ne tiens pas à mettre en avant ou en arrière, la faiblesse des équipes engagées ou la supériorité de l’équipe de France. Ce qui est intéressant c’est que les joueurs français ont compris le message que je voulais leur lancer, c’est à dire de jouer très, très vite, à une touche de balle, de mettre de la vitesse dans le jeu…  on a fait un football idéal. Je n’ai pas peur de dire, je vais à la Coupe du monde vraiment avec des certitudes. J’ai un groupe phénoménal, avec des joueurs qui sont bien dans leur tête, impressionnants, et qui pensent collectif tout le temps.
Ils m’ont fait rêver, c’était prodigieux ce qu’on a produit à Limerick, en Irlande. Alors est ce que les autres équipes étaient plus faibles en face, ce n’est même pas à moi de le dire,  je ne sais pas, nous on a fait notre jeu… Ça vaudrait peut être un autre débat?04 le management et les joueursLe management et les remplaçants de l’équipe de France.
Source : European Powerchair Football Association

Être Champion d’Europe procure quelles sensations ? Ces grands rendez-vous sont aussi le moment des bilans. En quelques mots quel est le tien ?
La sensation… géniale ! Mais ce n’est pas pour moi que j’étais principalement heureux, c’était surtout pour les joueurs, on travaille depuis des années ensemble, et trouver un groupe qui est capable de gagner les Championnats d’Europe… c’est forcement du plaisir, mais mon but ultime ce n’est pas d’être Champion d’Europe, c’est d’être Champion du Monde.
C’est très long de monter une équipe de France, ça ne se fait pas en deux ou trois ans. Mon objectif depuis le départ, était de trouver les joueurs capables d’apporter une cohésion dans le groupe, de jouer selon ce que j’ai projeté de mettre en place. J’ai lu l’autre jour, une interview de Mohamed, qui est, je le rappelle, le plus jeune joueur de l’équipe de France, le meilleur buteur du Championnat d’Europe avec 19 buts… qui dit : «…maintenant je ne m’arrête pas là, je veux être Champion du Monde…». En tant qu’entraîneur et sélectionneur, ça te booste encore plus. Ces joueurs là sont en accord avec moi , ils ont envie de tout gagner, sans jamais rien lâcher, ils ont le mental pour cela.
Nous ce qu’on veut c’est d’aller au bout, de gagner la Coupe du Monde. Après, moi j’arrêterai de toute façon, mais je veux gagner cette Coupe du Monde pour la France.

05 dernières consignesDernières consignes avant le match.
Source : European Powerchair Football Association

Quels impacts selon toi, ce titre peut-il avoir sur le foot fauteuil et plus largement sur le milieu du handicap ?
Pour moi ce qui est important c’est de montrer le foot fauteuil comme un sport ouvert. Il y a plein de clubs en France qui peuvent accueillir des jeunes et des adultes  handicapés. Le foot fauteuil  n’est pas un sport qui s’invente,  il existe depuis longtemps , avec des règlements et des compétitions internationales.
Ce qui est intéressant c’est de souligner que des personnes avec des handicaps lourds sont capables de pratiquer ce sport. Il faut leur donner l’envie de se tourner vers  une activité dans laquelle ils peuvent s’éclater, et trouver du plaisir, peu importe leur niveau ce n’est pas grave, mais d’aller s’éclater, de faire un sport collectif, de rencontrer des gens, de faire un championnat… C’est ça le plus important.
si vous avez l’envie, si vous aimez le foot, foncez dans ce sport…06 Jérôme DurandJérôme DURAND « Pika » salué par le management de l’équipe de France.
Source : European Powerchair Football Association 

07 Mohamed GHELAMIMohamed GHELAMI meilleur buteur du Championnat d’Europe avec 19 buts…
Source : European Powerchair Football Association  

interview réalisé par Julien.P
septembre 2014

La coupe du Monde reportée… la troisième Coupe du Monde de Foot fauteuil devait se tenir au Brésil, terre de football,  à l’automne 2015.  Après vérification par la FIPFA des infrastructures proposées pour le bon déroulement de la compétition, celle-ci n’a pas donné son aval au pays organisateur, pour des raisons liées à des problèmes d’accessibilité.
Deux pays se sont alors portés candidats pour l’organisation du tournoi : l’Australie et les États-Unis. Ces derniers ont emporté les faveurs de la fédération internationale, trois villes dont : Chicago, Dallas, Houston, se sont manifestées pour accueillir cet événement mondial en juillet 2016.

Nous ne manquerons pas de vous faire suivre l’évolution de cette belle équipe de France dans ses différentes étapes menant à la compétition ultime de la Coupe du Monde.